3- Quand la musique du concert est mise en boite
Comment prendre le son, comment enregistrer une musique ?
Quelles sont les techniques de chant avec ou sans micro ?
Comment écouter sans se mettre en danger ?
Séance 1 : je compare deux voix lyriques : l’une professionnelle et l’autre talentueuse débutante.Je comprends quelques techniques vocales de chant sans micro (techniques de chant lyrique)
Écoute comparée : "O mio babbino caro”, extrait de Gianni Schicchi de Puccini (1918)
Nous venons d’entendre un air d’opéra chanté par une voix de femme soliste (soprano) accompagnée d’un orchestre symphonique. Le tempo est modéré.
Dans la première interprétation, nous entendons Marias Callas, cantatrice professionnelle enregistrée en 1965.
Cet air est très expressif. Cela ajoute encore à l’émotion. Maria Callas chante sans micro.
Dans la deuxième interprétation Amira, 9 ans, chante dans un microphone.
Elle respire plus souvent, et parfois au milieu des mots. Elle a moins de capacité d'air.
Nous venons d’entendre un air d’opéra chanté par une voix de femme soliste (soprano) accompagnée d’un orchestre symphonique. Le tempo est modéré.
Dans la première interprétation, nous entendons Marias Callas, cantatrice professionnelle enregistrée en 1965.
Cet air est très expressif. Cela ajoute encore à l’émotion. Maria Callas chante sans micro.
Dans la deuxième interprétation Amira, 9 ans, chante dans un microphone.
Elle respire plus souvent, et parfois au milieu des mots. Elle a moins de capacité d'air.
Quelques éléments sur Maria Callas : Maria Callas, surnommée la “Bible de l’opéra” est une cantatrice d’origine grecque née à New York en 1923 et morte à Paris en 1977. Elle chante de nombreux rôles de soprano comme la Somnambule, Carmen ou encore Norma. La diva a une renommée mondiale.
Séance 2 : je suis capable de comparer voix avec et voix sans micro.
Activité : jeux vocaux d’articulation, chant avec et sans micro.
Vidéo : Singin in the rain (1953), extraits.
Avant, les films étaient muets. On ne savait pas mettre le son sur les films. Quelqu'un jouait en direct les musiques du film à l'aide d'un piano ou d'un orgue spécial pour le cinéma (orgue de cinéma : cf chapitre 1).
Séance 2 : je suis capable de comparer voix avec et voix sans micro.
Activité : jeux vocaux d’articulation, chant avec et sans micro.
Vidéo : Singin in the rain (1953), extraits.
Avant, les films étaient muets. On ne savait pas mettre le son sur les films. Quelqu'un jouait en direct les musiques du film à l'aide d'un piano ou d'un orgue spécial pour le cinéma (orgue de cinéma : cf chapitre 1).
Séance 3 : je choisis comment utiliser les micros pour enregistrer ma voix
Quelques éléments sur l’odyssée du son : 1877 : Edison invente le phonographe.
Pour enregistrer, on utilise des micros. Ils fonctionnent comme l’oreille : ils ont une membrane qui joue le rôle d’un tympan.
On distingue micro dynamique (gain important, pour la scène) et micro statique (plus sensible, pour le studio, alimentés 48 V - alimentation fantôme).
Pour enregistrer, on utilise des micros. Ils fonctionnent comme l’oreille : ils ont une membrane qui joue le rôle d’un tympan.
On distingue micro dynamique (gain important, pour la scène) et micro statique (plus sensible, pour le studio, alimentés 48 V - alimentation fantôme).
Ecoute comparée :
Séance 4 : je suis capable d’écouter de la musique au volume approprié. Je connais la morphologie de l’oreille et les limites qu’elle peut supporter.
L’oreille humaine est capable de capter des sons de 20 à 20000 Hz. (Hertz)
La musique que nous écoutons tous les jours est souvent compressée. Cela veut dire que l’on supprime des fréquences (souvent les plus hautes et les plus basses) afin que le fichier son soit plus “léger”. Le mp3 est le format de fichier son compressé le plus répandu.
Notre réflexe d’auditeur est de monter le son ce qui peut endommager nos oreilles.
Pour la musique, la limite de nocivité est de 85 dB. Pendant les concerts à proximité des enceintes, les niveaux peuvent dépasser 115 dB. Une écoute de quelques minutes peut provoquer des dommages irréversibles avec surdité et acouphènes (sifflements persistants). C’est pourquoi il est important de respecter des temps de pause toutes les deux heures environ.
La loi limite le niveau sonore à 100 dB pour les baladeurs et à 105 dB pour les discothèques.
L’oreille humaine est capable de capter des sons de 20 à 20000 Hz. (Hertz)
La musique que nous écoutons tous les jours est souvent compressée. Cela veut dire que l’on supprime des fréquences (souvent les plus hautes et les plus basses) afin que le fichier son soit plus “léger”. Le mp3 est le format de fichier son compressé le plus répandu.
Notre réflexe d’auditeur est de monter le son ce qui peut endommager nos oreilles.
Pour la musique, la limite de nocivité est de 85 dB. Pendant les concerts à proximité des enceintes, les niveaux peuvent dépasser 115 dB. Une écoute de quelques minutes peut provoquer des dommages irréversibles avec surdité et acouphènes (sifflements persistants). C’est pourquoi il est important de respecter des temps de pause toutes les deux heures environ.
La loi limite le niveau sonore à 100 dB pour les baladeurs et à 105 dB pour les discothèques.